Les variétés de Guppys que l'on trouve dans le commerce aujourd'hui sont exclusivement des poissons d'élevage qui n'ont plus grand chose à voir avec les variétés sauvages. En effet, de nombreux croisements ont été opérés par les pisciculteurs afin d'obtenir des individus plus colorés et plus "spectaculaires". Les yeux du Guppy sont grands et sa bouche est oblique. Leur queue possède différentes formes (queues en pelles, en épées, en herbes, larges, lyres...). 

Il peut mesurer de  3 à 4 cm pour le mâle et jusqu'à 6 cm pour la femelle.

La différenciation entre le mâle et la femelle est simple. La femelle a une taille adulte plus grande, le mâle est plus colorés.

Dans un aquarium, la tempêrature de l'eau doit être de 20 à 25°C. (Idéale à 23°C.) 

Côté nourriture, il n'est pas très exigeant mais apprécie énormément une nourriture variée sèche, congelée ou vivante : Paillettes, petits granulés, larves de moustiques, daphnies... 

Un apport de vitamines permet de leur donner des couleurs resplendissantes. Attention aux doses de nourritures : les guppys sont des poissons voraces et il faut les restreindre au strict nécessaire. Donnez, en plusieurs fois si possible, une quantité de nourriture qui peut être absorbée en moins de 3 minutes.

Attention, ce poisson est extrêmement prolifique. Ce poisson convient bien à une première expérience de reproduction en aquarium. Vu l'assiduité des mâles, il vaut mieux prévoir quatre femelles pour un mâle. Une femelle fécondée mettra en moyenne vingt jours (plus la température de l'eau est basse plus elle met de temps) pour expulser ses alevins. Lorsque la naissance des alevins est proche, la femelle reste immobile à la surface ou se cache dans les plantes. 

Les femelles jeunes donnent naissance à moins d'alevins que les femelles plus âgées. Il est préférable d'isoler les petits dans un bac spécifique d'une cinquantaine de litres car les parents ont tendance à les dévorer.

Les guppys sont des poissons très résistants et de ce fait, ils conviennent bien aux débutants.

Les débutants seront surpris par le nombre de petits alevins qu'ils vont obtenir sans aucun effort, le revers de la médaille est de savoir quoi faire avec cette nombreuse progéniture. Les poissons adultes peuvent les manger et il est possible d'en donner à des amis.

Quoi qu'il en soit c'est un problème auquel vous serez confronté et si cela ne vous convient pas,  n'hébergez pas de gupp dans votre aquarium !

Le régalec dit roi des harengs ou ruban de mer est un poisson à l'origine mystérieuse de 5 à 8 mètres de long, de la famille des régalécidés. Il est caractérisé par sa nageoire dorsale colorée dont les premiers rayons partiellement libres sont très longs.

De plus, leurs nageoires ventrales sont constituées d'une paire de longs rayons non segmentés. Comme pour les autres poissons de cette famille, les jeunes ont un aspect très différent des adultes. Les œufs et les larves font partie du plancton.

Il peut atteindre une taille maximum de 11 mètres, pour un poids de 270 kg. C'est le plus long des poissons osseux :  le plus grand et le plus lourd de tous les poissons étant le requin baleine (qui est un poisson cartilagineux).

On trouve le régalec dans l'océan Atlantique nord, mais il semblerait plus largement répandu car on en a retrouvé aussi en Indonésie.

Les marins ont longtemps pris le régalec pour une sorte de serpent marin.  Son aspect étonnant, sa rareté et ses couleurs ont suscité chez les marins et pêcheurs des histoires et des superstitions. On le prenait par exemple pour un roi qui guidait les harengs et les saumons lors de leurs migrations. En réalité, c'est un animal non agressif malgré des traits effrayants : yeux protubérants, nageoire dorsale rouge et brillante. Et pourtant il n'est pas gêné par la présence de plongeurs qui peuvent même le caresser.

À Taïwan, il a le surnom de "poisson séisme" car les rares fois où les pêcheurs en ont découvert, c'était peu après un tremblement de terre dont l'épicentre se situait en mer.

L'interprétation populaire est que les poissons remontent vers la surface dérangés par les secousses, mais la relation possible entre ces deux évènements n'a pas encore fait l'objet de recherche scientifique.

Vous venez de recueillir un chaton nouveau-né et pas encore sevré ?

Voici quelques conseils pour lui permettre de reprendre des forces.

Faites-lui un nid douillet

Mettez-le au chaud sous une couverture, avec une bouillotte. La température doit être maintenue à 28-30°C pour rappeler la chaleur du corps de la mère. Les premiers temps, votre chaton va beaucoup dormir.

Préparez les biberons

Utilisez du lait maternisé (surtout pas de lait de vache !) et des biberons pour chatons, en vente chez le vétérinaire ou en pharmacie. Un biberon pour poupée peut aussi faire l’affaire. Lavez ce matériel avec soin avant usage. Mélangez le lait avec de l'eau en suivant bien les dosages sous peine de diarrhées. Faites-le tiédir une fois préparé, avant de lui donner. Maintenez le chaton sur le ventre, la tête légèrement inclinée en arrière quand vous le nourrissez.
Au début, un chaton boit 2 à 4 ml seulement par tétée, donc, inutile d'en préparer de grandes quantités. Durant les deux premières semaines, répétez ces repas 8 fois par 24 h. Ce n’est pas de tout repos mais il lui faut prendre des forces. Les biberons sont à donner jusqu'à 6 à 10 semaines. Ensuite, vous pourrez commencer les pâtés pour chatons.

Massez-le

Le chaton nouveau-né est incapable de faire ses besoins tout seul. C’est pourquoi la chatte stimule ses petits en leur léchant la région du périnée. Après chaque repas, prenez une compresse humide. Massez-lui le ventre et la région anale pour provoquer miction et défécation. Nettoyez-le ensuite. Après trois semaines, vous pouvez commencer à lui apprendre l'usage du bac à litière en l’y plaçant après l’avoir nourri.

Pesez-le

Surveillez s’il prend bien du poids en le pesant régulièrement, à peu près à la même heure. Normalement, à l'âge d'une semaine, il pèse environ 180 g, vers deux semaines 280 g. A 1 mois, il doit peser entre 450 et 500g.

Stimulez-le

Il ne suffit pas de bien nourrir votre chaton. Il vous faut aussi jouer les mamans de substitution. Caressez-le, manipulez-le pour créer un lien d’attachement entre vous et lui. Faites–vous respecter aussi. Ne tolérez aucune griffade et morsure un fois qu’il commence à s’enhardir.